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EXTRAITS DE PRESSE

 

 

 

« Il ne fait aucun doute que Steve Coleman est passé par là, laissant son empreinte sur Nicolas Péoc’h, Johan Blanc, Benoît Lugué et Vincent Sauve, en qui certains reconnaitront le batteur du groupe Fada déjà remarqué dans ces pages. Un collectif soudé et ludique. »

Jazz Magazine, Juin 2014

 

 

« (...)Même si The Khu se place dans le droit prolongement de l’univers du saxophoniste américain, il n’en est pas moins un groupe intéressant à bien des égards, voire tout à fait excitant. Chacune de ces douze compositions est déroulée suivant une ligne claire. L’alliage de l’alto et du trombone produit un son lumineux aux teintes métalliques, tout en rondeur mais détouré par une attaque franche. Le propos rappelle parfois les grandes heures du jazz west coast, mais ne donne pas dans la langueur : sur un tempo toujours soutenu, il gagne peu à peu en force, avec un réel souci d’efficacité (...) Bien scénarisés, les morceaux trouvent un équilibre entre une certaine sophistication et l’art subtil de la rendre naturelle. En cela, la section rythmique - complice depuis de nombreuses années – est l’élément indispensable ; homogène au point de paraître indépendante, elle déploie un tapis souple au groove épais. Omniprésente, parfois rampante, souvent en avant, elle permet aux solistes de poser de stimulantes improvisations. Mais l’opposition n’est que relative : le rythme ne passe pas en dessous quand la mélodie est au-dessus ; par des effets habiles, les deux finissent, en fait, par se mêler. Un assemblage de chant/contre-chant, mélodique et/ou rythmique, produit des rebonds de l’un à l’autre, des successions de relais qui laissent l’auditeur essoufflé (mais comblé).

Nicolas Dourlhès, Citizenjazz, septembre 2014

 

 

« On sent que The Khu a tracé ses propres sentiers de recherche, dont on retrouve les senteurs sur les douze morceaux de ce bien bel album. Il y a une âme dans ces morceaux, elle émerge par moment en créant une vraie transe. Ainsi, par une sorte d’allant arythmique obsédant, on est souvent aspiré dans un tourbillon de groove logique et inéluctable. Nous voilà définitivement pris au piège de ce Khu Trance Beat ! Vivement une suite ! »

Dom Imonk, Gazette Action Jazz, septembre 2014

 

 

« The Khu produit un jazz classique et expérimental à la fois. (...) L’intensité est au rendez- vous de leur écriture finement ciselée, qui laisse parler, dialoguer les cuivres sans jamais être verbeuse. (...) L’ensemble sonne cohérent, et donne sacrément la pêche. Enivrant. A écouter d’urgence ! »

Ouest France, 10 avril 2014

 

 

Le travail de fond effectué par les associations et structures de diffusion est déterminant pour impulser la création, on le sait. Pour preuve, ce quartet The Khu né à Brest en 2011 grâce à l’association Penn Ar Jazz qui avait proposé à Steve Coleman de "piloter" le Nimbus Orchestra. Entre Paris et la Bretagne, ce groupe s’est soudé et s’est inventé une identité forte qui doit beaucoup à S. Coleman, certes, mais trace sa propre voie dans une formule sans instrument harmonique qui se montre inventive sans être hermétique. Très solide !

CultureJazz.fr, avril 2014

 

 

Un album sans paresse, sans facilités, aux méandres totalement maîtrisés.

Citizenjazz, Anne Yven, avril 2014 

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